Partons du livre en lui-même. Par définition, il s’agit d’un assemblage, chaque page étant «la suite de la précédente et l’origine de la suivante». Cependant, l’assemblage en question ne relève pas seulement de la hiérarchie interne de l’objet, il y a également une part de conception et de réception sensible, une appréhension personnelle – parfois inconsciente – qui ressort de l’abstraction mentale. Cette dernière dépend de chaque individu, de ce qu’il porte en lui. De plus, un livre est une production de l’esprit mais aussi un support, une ‘interface’ avec le·la lecteur·rice qui permet la diffusion et la conservation de textes variés : il est un ‘objet culturel’ transmettant du sens suivant une forme matérielle singulière, allant par-delà une temporalité et une topographie (concrète ou abstraite).
Tagmémoire
Notes (éparses) sur la Littérature – Enrique Vila-Matas, disparaître et s’incarner dans la littérature
Enrique Vila-Matas, romancier et essayiste espagnol hors catégorie, adopte une écriture à la fois anti-traditionnelle et provocatrice ayant pour thématique obsessionnelle la littérature. Cette dernière est déployée dans et pour chaque récit comme un exercice de virtuosité, devenant dispositifs (auto)réflexifs mêlant réel et fiction, mises en abyme transtextuelles infinies convoquant une multitude d’auteurs (notamment Franz Kafka, Maurice Blanchot et Robert Walser).
Toute la Mémoire des Hommes – Espaces hétérotopiques Concrets, Hybrides et Imaginaires
Toute la mémoire des hommes est un projet éditorial mené tandem quant à la mémoire des hommes, aux espaces et dispositifs des savoirs (concrets, hybrides, imaginaires). L’objectif n’était pas d’être exhaustif mais plutôt d’apporter des « morceaux choisis » sur ce thème très étendu.
Toute la mémoire du monde : utopie concrète de la connaissance en marche
Avec Toute la mémoire du monde, Alain Resnais nous montre à voir et à entendre les mécaniques d’une activité obsessionnelle mais cruciale pour l’Homme : conserver et organiser sa mémoire. Autrement dit, « domestiquer la matière imprimée » pour « préparer le progrès du monde ».
Dysposer les images. Dispositifs polymorphes de la pensée dispersée
Mémoire de DNSEP – Design graphique et éditions
Janvier 2018
ESADHaR – Le Havre
Dysposer les images [8/8] – Transferts et Décadrages
Dysposer est pour moi une manière de réouvrir ma pratique du design graphique. C’est un acte qui me permet de repenser sans cesse des formes, qu’elles soient visuelles, textuelles ou hétérogènes, mais c’est surtout un acte qui me permet de revoir, dans le sens de voir autrement (une méthodologie citationnelle).
Dysposer les images [7/8] – Dysposition
Dysposer est pour moi une manière de réouvrir ma pratique du design graphique. C’est un acte qui me permet de repenser sans cesse des formes, qu’elles soient visuelles, textuelles ou hétérogènes, mais c’est surtout un acte qui me permet de revoir, dans le sens de voir autrement (une méthodologie citationnelle).
Dysposer les images [6/8] – Dialectique du montage
Dysposer est pour moi une manière de réouvrir ma pratique du design graphique. C’est un acte qui me permet de repenser sans cesse des formes, qu’elles soient visuelles, textuelles ou hétérogènes, mais c’est surtout un acte qui me permet de revoir, dans le sens de voir autrement (une méthodologie citationnelle).
Dysposer les images [4/8] – Anachronie
Dysposer est pour moi une manière de réouvrir ma pratique du design graphique. C’est un acte qui me permet de repenser sans cesse des formes, qu’elles soient visuelles, textuelles ou hétérogènes, mais c’est surtout un acte qui me permet de revoir, dans le sens de voir autrement (une méthodologie citationnelle).
Dysposer les images [2/8] – Procédure accumulatoire
Dysposer est pour moi une manière de réouvrir ma pratique du design graphique. C’est un acte qui me permet de repenser sans cesse des formes, qu’elles soient visuelles, textuelles ou hétérogènes, mais c’est surtout un acte qui me permet de revoir, dans le sens de voir autrement (une méthodologie citationnelle).
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